Gilberte D.


Castres (81).

Ma mère est morte alors que je n’étais qu’une enfant. C’était il y a plus de cinquante ans. Depuis je n’avais jamais pu ouvrir cette porte derrière laquelle elle se trouvait et j’en souffrais beaucoup.
C’est fini. La porte s’est ouverte, je l’ai retrouvé comme si elle m’avait quitté hier.
« Maintenant, Maman, tu es de nouveau avec moi et nous ne nous quitterons plus jamais car tu es dans ma tête et dans mon cœur. Je peux vivre ma vie sans me sentir coupable et je goûte pleinement  à tous les petits bonheurs qu’elle m’offre chaque jour ».
Merci à vous Monsieur Arcella.